notice
biographique
Ecrire
permet de méditer et de se raconter des
histoires. C'est l'une de mes deux vies.
J'écris aussi parce que les livres lus ou
les films vus sont trop courts, et créer ses
propres romans fait qu'on peut rester longtemps
dans une histoire qu'on aime, des mois, voire des
années.
Dans
l'autre vie, je peins, je suis enseignant, je ne
fume pas, je ne fais pas de sport et je ne joue
plus aux échecs. J'ai vécu mon
enfance à Paris. J'ai fait mes études
à Nancy. J'ai cru à ma bonne
étoile à Strasbourg. Je réside
désormais dans le Sud-Ouest en compagnie
d'un labrador noir qui adore l'eau mais qui ne sait
pas nager.
Après
plusieurs nouvelles publiées en revue ou
dans des anthologies, quelques livres plus
conséquents ont trouvé le chemin des
éditeurs, dont un roman de SF, un
dictionnaire humoristique et deux ouvrages sur le
jeu d'échecs.
A
présent, sous le nom de Jan Thirion, sort,
aux éditions Krakoen, mon roman
intitulé "Mikko ou je n'entends rien au
japonais" qui inaugure la collection ni polar ni
noir Complètement à l'Ouest.
Editions
Krakoen
Né
à Paris, Jan Thirion est enseignant. Il vit
actuellement dans la banlieue de Toulouse.
"Le Vengeur", son premier roman publié est
une vision satirique des rapports sociaux sur fond
d'écologie. Son prochain, à
paraître prochainement, un polar, "Dieu
veille Toulouse" l'ancre pleinement dans sa
région d'adoption et dans les
événements traumatiques de ce
début de siècle. Dans ses nouvelles,
comme dans ses romans, l'humour s'invite en
passager clandestin prêt à surgir
à tout instant. Si "Mikko" et "Ego fatum"
sont résolument fantaisistes, sa
dernière parution, "Rose blême", est
un roman noir où la couleur de l'humour est
aussi sombre que le récit est âpre.
Avec une belle inventivité, cette solide
intrigue respire la vérité et captive
dans les moindres détails.
Né à Paris, Jan Thirion est l'auteur
de plusieurs romans. Il a publié deux
ouvrages sur le jeu d'échecs, écrit
des pièces de théâtre
montées à Toulouse et un dictionnaire
uniquement consacré à la lettre A.
Avant la littérature policière, il
s'est consacré à la SF et au
fantastique, ainsi qu'à la poésie, en
créant avec Pierre Ziegelmeyer, l'EdeN,
l'Ecole de Nulpart. Actuellement enseignant, il
continue, en sus d'explorer les territoires de la
fiction, de collaborer à diverses revues sur
Internet et de pratiquer des activités
graphiques, couvertures de livres notamment.
Après Toulouse et la région, comme
décor de ses histoires, ce sera l'Indochine
au début du vingtième siècle
qui sera au cur de son prochain roman.
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